Je viens de finir Dracula de Bram Stocker. En grande fan de vampire que je suis, je ne pouvais passer à coté de ce grand classique de la littérature. Les nombreuses publicités pour la nouvelle comédie musicale de Kamel Ouali "Dracula, l'amour plus fort que la mort" m'avait rappelé cette lacune que voilà maintenant réparée. Et je suis stupéfaite des libertés qu'ont prises Francis Ford Coppola et son scénariste dans le film éponyme. Sans doute ont-ils voulu rendre quelque peu humain celui qui n'est qu'un monstre de cruauté en inventant une histoire d'amour avec Mina qui pourrait ressembler à l'hypothétique femme que le comte aurait eu alors qu'il était encore un être humain si tant est qu'il en ait été un, un jour. Le tout dans le but de "romantiser" ou d'érotiser quelque peu l'ensemble pour passionner les foules.
Dans la version originale, histoire d'amour, il y a bien et plus forte que la mort sans aucun doute (Je ne sais pas pour le moment quelle version de l'histoire Mr Ouali a choisi de mettre en scène, si vous y assistez, dîtes-moi). C'est celle qui unit Mina et Jonathan malgré l'adversité que Stocker ne cesse de rappeler dans les deux journaux tenus par l'un et l'autre. Jonathan n'ayant de cesse de venger sa femme et Mina l'y aidant du mieux qu'elle peut en ne cessant de lutter jusqu'au bout contre le mal qui s'empare d'elle.
Dans la version originale, histoire d'amour, il y a bien et plus forte que la mort sans aucun doute (Je ne sais pas pour le moment quelle version de l'histoire Mr Ouali a choisi de mettre en scène, si vous y assistez, dîtes-moi). C'est celle qui unit Mina et Jonathan malgré l'adversité que Stocker ne cesse de rappeler dans les deux journaux tenus par l'un et l'autre. Jonathan n'ayant de cesse de venger sa femme et Mina l'y aidant du mieux qu'elle peut en ne cessant de lutter jusqu'au bout contre le mal qui s'empare d'elle.
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