Cheval de Guerre est un roman pour enfant à partir de 9 ans. C’est le livre qui a inspiré Steven Spielberg pour son film éponyme qui sort prochainement au cinema. L’édition Folio junior est agrémentée de plusieurs dessins réalisés par François Place qui donne une vraie valeur ajoutée à ce livre. Cheval de guerre est le premier livre de l’auteur.
L’histoire de Joey est racontée à travers son regard à la première personne. On y suit son parcours, ses émotions et ses peurs tout au long de ses différentes affectations au fil des victoires et des défaites lors de la guerre 14-18. Au départ, Joey est britannique, il est chevalde ferme mais est vite vendu par son propriétaire aux troupes anglaises partant pour le front français au grand dam d’Albert, le fils du propriétaire qui s’est pris d’une grande affection pour le cheval et jure de la retrouver lorsqu’il sera en âge de partir lui aussi pour la guerre !
J’ai aimé être « dans la peau de Joey » et ai vraiment découvert avec lui l’importance des chevaux lors de la première guerre mondiale, pour la cavalerie, le transport de blessés ou encore le halage des canons, alors que l’automobile en était encore à ses balbutiements. Joey montre aux jeunes lecteurs que celui qu’on appelle l’ennemi n’est pas forcément le plus méchant mais qu’il y a des gentils et des méchants de chaque coté.
J’ai été déçue de ne pas rencontrer de soldats français mais la nationalité britannique de l’auteur et de Joey et le fait que les britanniques n’étaient pas déployé sur les mêmes fronts que les français explique cela ! J’ai également été déçue par certaines passages où l’auteur nous laisse présager une anecdote mais ne poursuit pas dans son cheminement et semble changer de sujet comme s’il manquait des passages.
Dans l’ensemble, c’est une très belle histoire pour les enfants, qui m’a appris des choses et qui a su me toucher. Je le recommande donc vivement aux jeunes lecteurs.
L’histoire de Joey est racontée à travers son regard à la première personne. On y suit son parcours, ses émotions et ses peurs tout au long de ses différentes affectations au fil des victoires et des défaites lors de la guerre 14-18. Au départ, Joey est britannique, il est chevalde ferme mais est vite vendu par son propriétaire aux troupes anglaises partant pour le front français au grand dam d’Albert, le fils du propriétaire qui s’est pris d’une grande affection pour le cheval et jure de la retrouver lorsqu’il sera en âge de partir lui aussi pour la guerre !
J’ai aimé être « dans la peau de Joey » et ai vraiment découvert avec lui l’importance des chevaux lors de la première guerre mondiale, pour la cavalerie, le transport de blessés ou encore le halage des canons, alors que l’automobile en était encore à ses balbutiements. Joey montre aux jeunes lecteurs que celui qu’on appelle l’ennemi n’est pas forcément le plus méchant mais qu’il y a des gentils et des méchants de chaque coté.
J’ai été déçue de ne pas rencontrer de soldats français mais la nationalité britannique de l’auteur et de Joey et le fait que les britanniques n’étaient pas déployé sur les mêmes fronts que les français explique cela ! J’ai également été déçue par certaines passages où l’auteur nous laisse présager une anecdote mais ne poursuit pas dans son cheminement et semble changer de sujet comme s’il manquait des passages.
Dans l’ensemble, c’est une très belle histoire pour les enfants, qui m’a appris des choses et qui a su me toucher. Je le recommande donc vivement aux jeunes lecteurs.
assez en accord avec ton avis sur ce livre ;) j'ai aimé me retrouver dans la peau d'un cheval .. cela change .
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