Nous sommes en 1901, dans un petit village des Cornouailles. Elisabeth vient de perdre son père et accepte difficilement la froideur de sa mère.
L’été où elle quitte l’enfance, elle comprend que derrière les apparences d’une petite bourgeoisie provinciale obsédée par la peur du scandale, se dissimulent des drames insoupçonnables, et des monstres qui rôdent, les soirs de pleine lune, dans l’ombre des falaises.
Lu en partenariat avec le forum Have a break, have a book et les Editions du petit caveau
Si on peut être tout d'abord dérouté par la maturité d'Elisabeth qui n'a que 14 ans, il suffit de prendre en compte l'époque où l'histoire se passe pour l'oublier. A cette époque, et dans ces familles aristocrates, il n'est pas rare encore à cette époque, d'être déjà promise voire mariée à cet âge alors il faut mûrir vite. Mais passons, l'écriture est très agréable et maîtrisée et l'on est vite transporté en Cornouailles par les paysages et les ambiances qui donnent à ce livre un petit air de Jane Austen. J'avoue, je suis tombée immédiatement sous le charme du débraillé et un peu bad boy, Chris Osborne. Vouloir s'accorder la paternité du Dracula de Bram Stocker est peut-être un peu présomptueux mais m'a fait sourire, le mythe du vampire ici revisité est agréable et cohérent. J'ai simplement trouvé la scène d'action finale un peu rapide à mon gout mais rien de bien méchant. Pourtant, j'ai l'impression qu'il me manque quelque chose à la fin de cette lecture. Peut-être parce qu'elle était un peu courte ?
L’été où elle quitte l’enfance, elle comprend que derrière les apparences d’une petite bourgeoisie provinciale obsédée par la peur du scandale, se dissimulent des drames insoupçonnables, et des monstres qui rôdent, les soirs de pleine lune, dans l’ombre des falaises.
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Si on peut être tout d'abord dérouté par la maturité d'Elisabeth qui n'a que 14 ans, il suffit de prendre en compte l'époque où l'histoire se passe pour l'oublier. A cette époque, et dans ces familles aristocrates, il n'est pas rare encore à cette époque, d'être déjà promise voire mariée à cet âge alors il faut mûrir vite. Mais passons, l'écriture est très agréable et maîtrisée et l'on est vite transporté en Cornouailles par les paysages et les ambiances qui donnent à ce livre un petit air de Jane Austen. J'avoue, je suis tombée immédiatement sous le charme du débraillé et un peu bad boy, Chris Osborne. Vouloir s'accorder la paternité du Dracula de Bram Stocker est peut-être un peu présomptueux mais m'a fait sourire, le mythe du vampire ici revisité est agréable et cohérent. J'ai simplement trouvé la scène d'action finale un peu rapide à mon gout mais rien de bien méchant. Pourtant, j'ai l'impression qu'il me manque quelque chose à la fin de cette lecture. Peut-être parce qu'elle était un peu courte ?
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